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La Chambre de conciliation et d’arbitrage du sport (Ccas) a déclaré le 07 mars dernier, irrecevable, la demande d’annulation des résultats de l’assemblée générale élective de la Fédération congolaise de nzango (Féconza), introduite par Passi Guy Noel Titov.
En effet, tenant en compte les dispositions de l’article 30 des statuts de la Féconza qui stipule : « le poste du président de la fédération est exclusivement réservé aux femmes », la demande de Passi Guy Noel Titov de genre masculin, ne peut être recevable.
La partie plaignante cependant affirme qu’il s’agit d’un verdict corrompu puisqu’on ne peut pas attendre selon Aimé Oko, représentant du plaignant, grand-chose de la justice congolaise « c’est la loi du plus fort ».
La partie adverse quant à elle, se réjouit du fait que le droit a été dit et est impatiente de dérouler son programme préétabli : « Nous avons un programme déjà établi puisque nous savions qu’on allait gagner. Déjà que le programme d’activité est déjà prêt, nous irons à la quatrième vitesse pour le dérouler», raconte Antoine Mvoue, secrétaire général de la Féconza.
Autres audiences renvoyées au 22 mars
Trois autres affaires ont été inscrites à l’ordre du jour dont celle relative à la Fédération congolaise de boxe, à la fédération congolaise de cyclisme et celle de la fédération congolaise de tennis de table.
Elles ont toutes été renvoyées au 22 mars 2025, au plus grand mécontentement des membres des associations.
« Ça fait quatre, cela est vraiment dérangeant. Qu’est-ce qui nous rassure, que sentence sera rendue le 22 mars ?», s’interroge Franck, membre du club wamba, un club de boxe.
Le verdict de ce procès déterminera la prochaine assemblée générale élective de la Fédération congolaise de boxe, a-t-on rappelé.
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Par Guerline Ngala
Crédit-photos : La Brève
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