Fespam 2023 : Brazzaville en lumière

Fespam 2023 : Brazzaville en lumière

Le 15 juillet soir en compagnie des festivaliers réunis au stade Alphonse Massamba-Débat, le chef de l’Etat Denis Sassou N’guesso a lancé la 11e édition du Festival panafricain de musique (Fespam), un rendez-vous qui met les créations des artistes à l’honneur.

Le Congo frappé par la crise économique et sanitaire, offre à nouveau le Fespam aux congolais (e) et aux nombreux étrangers huit ans après d’absence.

«  Je déclare ouverte la 11e édition du Festival panafricain de musique », c’est ainsi parti pour cette édition.

La slameuse Mariusca Moukengue a ouvert le bal, suivi du groupe les musées d’art, où les artistes ont livré une chorégraphie au rythme traditionnel.

Juste après, la musique afro, classique et la rumba a pris le relais.

La ministre en charge de l’industrie culturelle, le commissaire général du Fespam et le maire de la ville de Brazzaville

« Quand on joue de la musique, on est avec les gens, on partage nos émotions et notre âme et nos peines », a déclaré le malien Sidiki Diabaté.

« Le plus beau cadeau qu’on m’a fait dans la vie c’est de m’avoir permis de jouer de la musique, et je vous le souhaite à tous », a dit l’artiste Diesel Gucci.

Plus de cinq cent invités issus du monde culturel de plus de 20 pays y sont venus, à la rencontre de ce que le Fespam  a de mieux à offrir : ses producteurs, ses vendeurs, ses spectateurs. Le Fespam, c’est aussi une multitude d’activités gratuites offerte à tous sur différents sites.

Durant une semaine, les participants découvriront la musique moderne de leurs voisins. Mais aussi plus contemporaines, des pièces de théâtre, des concerts de chants religieux. Bref des échantillons d’une immense richesse africaine.

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