La chercheuse Randhall Josnille M’Pemba Massaka a soutenu le 5 juin dernier sa thèse de doctorat en mathématiques appliquées sous le thème : « Méthodes numériques avancées pour la résolution des phénomènes environnementaux gouvernés par des EDP paraboliques non linéaires.
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La soutenance s’est déroulée à l’auditorium de la présidence de l’université Marien N’Gouabi, en présence d’un jury national et international. Randhall M’Pemba a mené ses recherches au sein du laboratoire LANIA, la qualité des réponses de l’impétrante aux préoccupations du jury lui ont valu la mention « très honorable ».
Pour l’impétrante, « cette recherche menée au sein du laboratoire L.A.N.I.A, s’inscrit dans les enjeux cruciaux de la modélisation mathématique appliquée à l’environnement. Mon travail a porté sur le développement d’une méthode hybride alliant précision spectrale et flexibilité géométrique, et son application à des cas concrets tels que la diffusion de polluants dans une rivière ou l’infiltration de contaminants dans des milieux poreux ».
Elle a par ailleurs chuté en signifiant que cette étape franchie n’est pas une fin mais un nouveau départ au service de la science, de l’enseignement et de l’Afrique.
L’objectif de cette soutenance est de démontrer la maîtrise des concepts, la qualité du travail de recherche, et la capacité à communiquer des résultats de manière claire et concise.
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Gigie PAMBOU, s’inspirant des notes prises sur la page Facebook de l’impétrante
