La cérémonie de remise des diplômes a eu lieu le 5 juin 2021 à Brazzaville, en présence du président du Conseil supérieur des Eglises de réveil du Congo, Germain Loubota, du directeur général de l’Imadac, Joseph Elenga et d’autres autorités.
Plus de deux cents chrétiens et non chrétiens ont pris part à la cérémonie qui a débuté par des chants et des louanges à l’endroit du Seigneur.
La formation des étudiants a duré trois ans en théologie et les impétrants font partie de la deuxième promotion de l’Institut moisson des assemblées de Dieu au Congo (Imadac).
En effet, les diplômes sont l’équivalent d’une licence et ont été décernés à près de seize étudiants dont deux absents pour des raisons professionnelles.
Pour ce faire, le représentant de l’action missionnaire au Congo, le pasteur, Christophe est très ému de partager cet instant avec les finalistes avant de les encourager d’encrer leur foi sur la Parole de Dieu, de veiller sur eux-mêmes et sur les enseignements reçus, afin de se sauver et de sauver d’autres.
Pour Joseph Elenga, « L’institut ne confie pas aux hommes le ministère, mais les outils qu’il faut, afin qu’ils puissent exercer. Et, que l’Eglise sache qu’elle appartient à Jésus-Christ parce que, les versets bibliques sont parfois utilisés à tord et de travers ».
Le pasteur Gérard Rigar, a exhorté les impétrants de progresser au Congo et au-delà. « N’allez pas chercher sur Internet les messages que vous devrez transmettre à son peuple, mais sous les pieds du Maître lui-même. Il vous révèlera à travers le Saint-Esprit, ce qu’il faut pour ses brebis », a-t-il déclaré dans sa prédication tirée du livre de 1 Thessaloniciens 4 : 1.
Prenant la parole, Germain Loubota, a encouragé les étudiants avant de leur demander de briller aussi par les actes.
« C’est grâce à cette formation que chaque étudiant découvrira dans quel but Dieu l’a envoyé sur terre », a expliqué Claude Soumbou, l’un des étudiants finalistes.
Créée en 2014, l’Institut moisson des assemblées de Dieu au Congo (Imadac), est à sa deuxième promotion.

L’étudiant Roch Ngatse, l’un des finalistes