En appui aux efforts du gouvernement congolais et en lien avec le Plan cadre des Nations-Unies pour l’aide au développement durable (Undaf) pour la période 2022-2026, les travaux de l’atelier de révision (Undaf) ont eu lieu des 27 au 29 juillet 2022 à Brazzaville.
Le plan cadre des Nations-Unies existant partait de 2020 à 2024. Et, étant donné que le pays a un nouveau Plan national de développement allant de 2022 à 2026, donc un alignement s’avérait indispensable.
Le chargé du partenariat et de la mobilisation des ressources au niveau de l’Oms, le docteur Georges Batona, souligne l’importance de cet alignement.
« Cet alignement consiste à revoir les effets notamment l’impact qui était fixé dans le plan cadre des Nations-Unies pour voir comment ces effets demeurent en alignement avec le nouveau Pnd qui porte six (6) piliers centrés sur la diversification de l’économie », a-t-il expliqué.
La création d’opportunités pour la croissance économique inclusive et durable, l’amélioration de l’accès des populations (hommes et femmes) particulièrement les plus vulnérables aux services sociaux de base de qualité et à la protection sociale, le renforcement du progrès de la gouvernance inclusive et d’un Etat de droit, sont les axes stratégiques de coopération définis et approuvés par l’ensemble des acteurs et par les partenaires au développement.
En outre, l’atelier de révision a eu pour but d’aligner les priorités nationales telle qu’elles ressortent du Plan national de développement (Pnd 2022-2026). Il vise à accompagner les efforts du Congo dans la réalisation de l’Agenda 2030 et de ses objectifs de développement durable Odd.
Ce plan cadre, que « Nous venons de réviser est axé sur trois secteurs à savoir : le capital humain, la diversification de l’économie et la gouvernance », a poursuivi Batona. Avant de clore, que ces améliorations ont été réajustées à ces trois piliers du nouveau Pnd et faire qu’il y ait la théorie du changement c’est-à-dire, réunir toutes les conditions pour aboutir aux bons résultats », a-t-il conclu.
L’atelier a connu la participation des cadres des agences onusiennes et ceux de l’administration congolaise, ont pris part aux activités de la revue, sous la coordination du consultant international des Nations-Unies Daniel Mikayoulou.