Le ministre de l’enseignement technique et professionnel, Ghislain Thierry Maguessa-Ebomé, soutenu par son collègue de l’enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Jean Luc Mouthou, a lancé le 13 juin au lycée technique industriel 1er mai, les épreuves écrites du Baccalauréat, session 2023.
Dans ce centre, les ministres Mouthou et Maguessa-Ebomé ont distribué les épreuves de français aux candidats marquant officiellement le lancement du Bac technique 2023. Pour cette session, 17719 candidats toutes séries confondues composent dans 91 centres sur l’ensemble du territoire national.
Pour 2023, Brazzaville et Pointe-Noire comptent 8423 candidats et 6260 candidats. Le pourcentage des candidatures féminines est supérieur à celui des garçons avec 9014 filles, soit 50,87%. Et, les ‘‘candidats libres’’, quant à eux, sont au nombre de 5834 soit 32,93%.
Selon le ministre Maguessa, ces données sont légèrement en baisse de 3,30% par rapport à l’an dernier. Mais, cette baisse n’a pas empêché aux deux ministres de booster le moral des candidats avec des conseils à leur endroit.
Pour le ministre de l’enseignement technique, l’examen avait commencé depuis octobre et ce jour, n’est qu’une formalité. « Nous espérons que chacun de vous s’est préparé en conséquence. Notre souhait, c’est votre réussite totale », a déclaré Maguessa Ebomé.
Au lycée Pierre Savorgnan de Brazza comme au centre 5 février 1979 en passant par le complexe scolaire Anne Marie Javouhey, pour constater le déroulement des épreuves, il a également salué le personnel d’encadrement pour la tenue d’une bonne année scolaire, les parents d’élèves et les partenaires du système éducatif pour leur appui.
Il a appelé les candidats à mériter leurs résultats car « Ce sont eux qui vont contribuer au développement du Congo », tel que souhaité par le chef de l’Etat.
« J’ai déjà mon Bac, suis sûre », a rassuré la candidate Barthelle Ngoteni en G2.
Ces épreuves débutées ce jour prendront fin le 17 juin prochain.
