Avec Sassou, un bilan « pas seulement catastrophique mais aussi dangereux et émaillé de violences »

Avec Sassou, un bilan « pas seulement catastrophique mais aussi dangereux et émaillé de violences »

Le président du parti ‘‘Les Souverainistes’’, Uphreme Dave Mafoula a livré un bilan bouleversant des mesures égoïstes et insensibles de la part du chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso en exercice plus de 40 ans.

« Nous poursuivons la marche pour aller où? » 👇

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Pourquoi ce bilan ?

En tant qu’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2021, « la vérité c’est que notre pays est à l’arrêt, il est bloqué, une situation qui résulte de l’impuissance politique d’un seul individu, à savoir le président Sassou N’Guesso, cela devient intolérable ! »

Un bilan dangereux et un appel au dialogue entre la Rdc et le Rwanda 👇

Rappelant quelques actions du président de la République, notamment celle de l’année 2024, qu’il avait dédiée à la jeunesse, Dave Mafoula face à la presse a dit que l’objectif de créer 100.000 emplois en 2024 n’a pas été respecté. « Comment croire à un président qui ne respecte pas sa propre parole ? », s’est-il interrogé, pour lui la situation des jeunes devient plus alarmante qu’avant.

Il a indiqué que cet échec a encore accentué l’insécurité dans les villes à travers le phénomène « bébés noirs ».

Les militants

Dans son dernier discours sur l’état de la nation, le chef de l’Etat avait déploré les détournements de fonds destinés au paiement de la bourse des étudiants à hauteur de 6 milliards de Frs cfa, mais jusque-là aucune sanction n’est prévue.

A cet effet, l’opposant demande au président d’arrêter ces voleurs afin qu’ils soient condamnés pour leurs actes ». ⤵️

Extrait sur l’accès aux services essentiels et opportunités d’emplois chez les jeunes

Dave Mafoula dénonce aussi que dans ce pays, celui qui occupe une haute fonction s’il ne détourne ni ne place ses proches-parents est considéré comme un bon à rien.

« Ces problèmes, non résolus par le président de la République, suscitent des vives inquiétudes et des interrogations persistantes sur ce que le président fait de notre argent », a-t-il conclu.

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Par Gigie PAMBOU

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