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« Son impartialité, sa nécessité de préserver les biens publics et privés, et enfin son expérience comme numéro 2 à l’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco).
Dans le cadre de la poursuite de sa campagne lancée récemment, comme candidat au poste de directeur général de l’Unesco, Firmin Edouard Matoko a fait connaître les raisons de son éligibilité à ce poste aux diplomates accrédités en République du Congo, le 14 mai à Brazzaville.

Il a évoqué trois raisons :
- La première, c’est son impartialité. En effet, bien que Makoto veuille valoriser davantage l’Afrique, il s’identifie en tant que candidat de « tous les peuples » et de « tous les Etats », sans aucune discrimination quelconque. Dans son projet de « réforme structurelle et institutionnelle », hommes, femmes et jeunes y trouvent leur compte.
« Cibler une jeunesse et leur donner déjà les moyens par des programmes d’éducation civique, à la citoyenneté, à la paix, d’être armés quand ils sortent des conflits ou grandissent dans des camps de réfugiés, de les armer à être des honnêtes citoyens et contribuer à bâtir la paix dans leur pays… Les femmes et les enfants augmenter l’action des filles dans les sciences », prône-t-il.
- La deuxième raison, il a parlé de son ambition de préserver les biens publics, l’éducation, la santé, la formation et autres qui constituent les batailles de l’Unesco. Pour lui, « l’Unesco doit demeurer le repère, la boussole collective qui indique le chemin à suivre ».

Enfin, le candidat congolais a rappelé de son expérience comme troisième raison d’éligibilité à ce poste convoité par deux autres candidats.
En fait, c’est depuis 1990 que Firmin Makoto exerce à l’Unesco où il occupe diverses fonctions dans le domaine de la culture, de l’éducation et du développement durable.
On rappelle que le directeur général est proposé par le Conseil exécutif et nommé par la conférence générale.
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Par Annicette Ngakosso