A l’ouverture à Brazzaville mardi 02 juillet 2024 de la première conférence internationale de l’afforestation et le reboisement (Ciar1), la ministre de l’économie forestière parle des enjeux de cette grand-messe.
En outre, la Ciar veut augmenter les superficies forestières nationales, mondiale, d’accroitre la capacité de séquestration de carbone atmosphérique, de préserver des habitats et la biodiversité, de soutenir et maximiser la production des biens et services fournis par les forêts.
Par ailleurs, il est prévu l’adoption d’une stratégie mondiale d’afforestation et de reboisement incluant les aspects techniques, scientifiques et financiers de sorte que ces assises aboutissent à l’inscription de la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et de reboisement dans l’Agenda des Nations-Unies au moyen d’une déclaration mondiale sur l’afforestation et le reboisement.
Pour y parvenir, la ministre souligne la nécessité pour la communauté nationale et internationale, de travailler ensemble : « Seule la coopération sous régionale et internationale en matière de gestion de ressource naturelle peut engendrer des résultats significatifs quant à la lutte contre l’épuisement effréné de ces ressources, contre la désertification et contre la perte de la biodiversité. Aucun pays ne saurait prétendre l’éradiquer tout seul », précise-t-elle.
La première conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement se poursuit jusqu’au 05 juillet prochain avec le sommet des chefs d’Etats, après le segment des experts et celui des ministres.
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Par Annicette Ngakosso