Après l’entretien avec la Lcif, le ministre s’est ensuite entretenu avec le bureau national exécutif de la coordination des diplômés des écoles professionnelles de l’enseignement (Ceped) où il a été question de la subvention financière à louer aux enseignants volontaires et de la finalisation du quota 2023.
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En effet, les enseignants volontaires cumulent trois mois de salaire impayé. Une situation qui fâche ces derniers et empiète sur la fréquence de leur prestation.
« La question doit être résolue dans un laps de temps parce que les enseignants volontaires croupissent, ils se sont sacrifiés pour honorer les obligations de l’Etat. Nous attendons fermement la solution», a dit avec fermeté le président du bureau national exécutif, Thierry Bounkoulou.

S’agissant de la finalisation du quota 2023, les attentes sont les mêmes vis-à-vis du ministère.
«Nous demandons que les travaux du quota 2023 finissent pour fixer tout le monde, rendre des comptes à nos collègues et entamer le processus de traitement de celui de 2024», a-t-il poursuivi.
Il a saisi cette occasion pour démentir la rumeur de menace de grève dudit bureau tout en insistant sur la solution immédiate aux problèmes qui minent celui-ci.
Le ministre pour sa part, a promis au bureau national exécutif de la coordination des diplômés des écoles professionnelles de l’enseignement, de trouver gain de cause à leur problème d’ici peu.
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