Un plan d’action des Nations-Unies pour assistance au Congo
Ecrit par Gigie Pambou
L’atelier de validation du rapport des résultats du Plan cadre des Nations-Unies (Undaf) 2023 et pour l’assistance du Congo pour la période de 2022-2026 s’est tenu du 5 au 6 février 2024 à Brazzaville et a révélé qu’il faut mobiliser les fonds pour atteindre des objectifs.
Ce plan d’action des Nations-Unies constitue un nouveau jalon dans la mise en œuvre de la réforme du système de cet organisme au Congo pour les cinq prochaines années.
Ndlr : il est important de préciser qu’un plan d’action commun de l’Undaf renforce l’identification commune des priorités et permettra au gouvernement de s’assurer que la mise en place des programmes se fait de façon concertée.
Il permettra aussi de démontrer l’engagement du gouvernement du Congo à coordonner ce processus et à s’assurer que les programmes soutenus par les Nations-Unies seront progressivement reproduits et étendus sur tout le territoire national.
Il propose en effet, un système de suivi et d’évaluation efficace permettant de mesurer la performance du système des Nations-Unies au Congo d’une part, celle des partenaires de mise en œuvre et les résultats de leurs activités d’autre part.
Comptant des effets prioritaires répartis par axes d’interventions, pour la période de 2022-2026 du Plan national de développement (Pnd), ce projet mentionne les ressources financières disponibles et les fonds à mobiliser par chaque agence afin d’atteindre les résultats pour un montant qui n’a pas été révélé, jour de l’ouverture de l’atelier.
« Le plan est centré sur la création d’une économie solide, diversifiée et résiliente, prônant une croissance inclusive ainsi qu’un développement durable », souligne l’un des participants.
Pour votre gouverne, une présentation de la synthèse des grandes lignes du plan d’action et celle des recommandations de l’atelier mettront fin aux assises.
Ont pris part à cet atelier de validation du rapport des résultats de l’Undaf en 2023, les experts du système des Nations-Unies, du secteur public et privé et ceux de la société civile.
L’atelier de validation du rapport des résultats du Plan cadre des Nations-Unies (Undaf) 2023 et pour l’assistance du Congo pour la période de 2022-2026 s’est tenu du 5 au 6 février 2024 à Brazzaville et a révélé qu’il faut mobiliser les fonds pour atteindre des objectifs.
Ce plan d’action des Nations-Unies constitue un nouveau jalon dans la mise en œuvre de la réforme du système de cet organisme au Congo pour les cinq prochaines années.
Ndlr : il est important de préciser qu’un plan d’action commun de l’Undaf renforce l’identification commune des priorités et permettra au gouvernement de s’assurer que la mise en place des programmes se fait de façon concertée.
Il permettra aussi de démontrer l’engagement du gouvernement du Congo à coordonner ce processus et à s’assurer que les programmes soutenus par les Nations-Unies seront progressivement reproduits et étendus sur tout le territoire national.
Il propose en effet, un système de suivi et d’évaluation efficace permettant de mesurer la performance du système des Nations-Unies au Congo d’une part, celle des partenaires de mise en œuvre et les résultats de leurs activités d’autre part.
Comptant des effets prioritaires répartis par axes d’interventions, pour la période de 2022-2026 du Plan national de développement (Pnd), ce projet mentionne les ressources financières disponibles et les fonds à mobiliser par chaque agence afin d’atteindre les résultats pour un montant qui n’a pas été révélé, jour de l’ouverture de l’atelier.
« Le plan est centré sur la création d’une économie solide, diversifiée et résiliente, prônant une croissance inclusive ainsi qu’un développement durable », souligne l’un des participants.
Pour votre gouverne, une présentation de la synthèse des grandes lignes du plan d’action et celle des recommandations de l’atelier mettront fin aux assises.
Ont pris part à cet atelier de validation du rapport des résultats de l’Undaf en 2023, les experts du système des Nations-Unies, du secteur public et privé et ceux de la société civile.
Crédit photo : La Brève Online
