11e édition du ‘‘Fespam’’, les organisateurs s’assurent des derniers aménagements

11e édition du ‘‘Fespam’’, les organisateurs s’assurent des derniers aménagements

Toutes les batteries sont mises en marche par le gouvernement de la République pour une réussite totale de la tenue au Congo de la 11e édition de relance du Festival panafricain de musique (Fespam). L’accueil des artistes nationaux et internationaux est prévu du 15 au  22 juillet prochain à Brazzaville.

C’est dans cette lancée que le premier ministre, Anatole Collinet Makosso, s’est rendu le 11 juillet dans quelques  sites choisis pour accueillir différentes activités du Fespam, notamment les producteurs, les vendeurs, les acheteurs des spectacles et d’autres rencontres importantes avec les artistes.

Le chef du gouvernement a voulu s’assurer des derniers aménagements qui doivent être faits.

Cette édition est placée sous le signe, « La rumba congolaise : envol de la base identitaire vers les vertices du patrimoine de l’humanité ».

La délégation conduite par le premier ministre

Le premier ministre Makosso était à la tête d’une importante délégation constituée des quelques membres du gouvernement, notamment de la ministre de l’industrie culturelle, touristique, artistique et des loisirs, Lydie Pongault, du commissaire général du Fespam, Hugues Ondaye et de plusieurs acteurs impliqués.

La délégation a visité tour à tour le stade Alphonse Massamba-Débat, lieu prévu pour l’ouverture officielle ainsi que le Palais des congrès où il est prévu un marché de la musique africaine (Musaf).

Le premier ministre montant les escaliers du stade lors de la visite

Se confiant à la presse, à la dernière étape de leur visite, la ministre Pongault s’est dit satisfaite du bon déroulement des travaux.

« Pour cette édition de relance, nous serons prêts le jour J et la fête sera belle », a-t-elle rassuré.

La ministre de l’industrie culturelle  pense que cette relance est exceptionnelle. « Le président de la République l’a voulu, c’est à nous de nous approprier ce Fespam. Nous avons l’occasion qui nous est donnée non pas seulement pour la fête mais également pour prendre connaissance de tout ce qui va se faire, à savoir le marché, le symposium, des masters classes afin de faire en sorte que le Congo soit un hub de la musique et de l’industrie culturelle », a-t-elle insisté.

Outre les deux sites visités, il y a aussi le terrain Asecna de Mayanga à Madibou, l’espace situé au centre des logements sociaux de Kintélé, le musée historique du Congo à Mpila et l’esplanade du Centre national de radio et de télévision (Cnrtv) à Nkombo.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *