LE PERSONNEL PENITENCIER DE BRAZZAVILLE ÉDIFIÉ SUR L’IMPORTANCE DE LA VACCINATION

LE PERSONNEL PENITENCIER DE BRAZZAVILLE ÉDIFIÉ SUR L’IMPORTANCE DE LA VACCINATION

La direction générale de l’administration pénitentiaire a communiqué ce 30 mars 2021 à Brazzaville, avec le personnel des directions centrales, de la zone centre de la maison d’arrêt et de correction de Brazzaville, sur l’importance de la vaccination contre le covid-19.

Compte tenu de la virulence de la pandémie à coronavirus, la politique vaccinale est importante et cruciale pour mettre son personnel à l’abri du danger.

C’est en s’alignant sur cette vision, que le directeur général de l’administration pénitentiaire (Dgap), le colonel Jean Blaise Komo, a invité son collègue, le colonel Aristide Gilbert Nianga, spécialiste, chercheur de 1er degré en hygiène et épidémiologie à la clinique de la Garde républicaine de Mpila, pour leur parler non seulement sur l’importance mais aussi sur la qualité et les effets indésirables du vaccin.

Après le mot d’ouverture prononcé par le Dgap, la charge est revenue au médecin en chef de la garde républicaine, d’exposer en sa qualité d’acteur de santé. « Recevoir son vaccin, le corps deviendra capable de produire les anticorps et de terrasser l’ennemie », a indiqué le chef de division santé à la direction de la logistique de la Garde républicaine.

Le Congo à reçu un don du vaccin chinois Sinopharm et a acquis avec fonds propre celui de la Russie Spoutnik V, les deux arrivés récemment en terre congolaise.

Pour le colonel chercheur, il invite chacun de se faire vacciner en prenant 2 doses de la même qualité dont, l’intervalle est de 21 jours.  » Les femmes enceintes et ceux qui présentent un problème respiratoire doivent s’abstenir du vaccin pour peur de répercutions », a-t-il signifié. Tout en rajoutant : « Comme tout produit pharmaceutique, le vaccin contre le covid-19, a aussi les effets indésirables notamment, la fièvre, la fatigue et les maux de tête mais tout cela dépend de l’organisme », a éclaircit le chercheur Nianga, pour la prévention et la réduction du taux de transmission du virus au sein de l’administration.

Signalons que le vaccin n’est pas obligatoire mais important pour vivre dans une société sûre et confiante.

Pour clore le moment d’échanges, le colonel Jean-Blaise KOMO a rappelé au personnel de l’administration pénitentiaire le bénéfice et la sécurité que le vaccin peut apporter à chacun et s’est soumis au calendrier que les autorités mettront à leur disposition pour leur passage dans un centre de vaccination.

Le personnel de la maison pénitentiaire de Brazzaville

Rédigé par Sledge Mayoussa

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