Une école éducative et culturelle au centre de Brazzaville
A environ 30m de l’Arpce sur l’avenue de l’amitié au centre ville de Brazzaville, le nouveau site pour collège et lycée de l’école internationale Maarif Turkiye- congolaise a été inauguré le 17 janvier 2024 par les diplomates. Une initiative de la fondation dont l’école porte le nom.
Constituée de deux (02) bâtiments à deux niveaux, l’école Maarif comprend dix (10) salles de classe, celle des professeurs y compris ; quatre (04) laboratoires ; une bibliothèque ; une infirmerie, des offices administratifs, un terrain de foot et de basketball.
La cérémonie d’inauguration a été marquée par une série d’animation culturelle de danses et de chants internationaux.
Maarif en effet est une école éducative et culturelle qui vise la formation des élites au service de la nation par la mise en pratique des connaissances acquises.
« La vision de l’école Maarif est de devenir une institution bien meilleure formant des personnes qui utilisent leur savoir et leur connaissance pour servir de leur gré la nation», a notifié le directeur général de l’école, Muttalip Cansizoglu.
Justifiant ses propos, il a expliqué que « Toute éducation doit orienter les apprenants à la pratique des connaissances acquises ».
Autre temps fort de la cérémonie d’inauguration, la remise des dons aux diplomates ayant fais le déplacement pour prendre part à cette activité comme le coordonnateur résident du système des Nations-Unies en République du Congo, Chris Mburu.
Ému en voyant le résultat final de cette école, l’ambassadeur de la Turquie en République du Congo, Hilmi Ege Türemen dans son allocution de circonstance, n’a pas manqué de remercier les autorités congolaises pour la coopération dont ils ont fait monte à leur égard pour la construction de cette école.
La fondation Maarif de Turquie est la seule organisation de la République Turque accréditée à ouvrir des établissements d’enseignement à l’étranger. Elle assure l’interaction culturelle et de civilisation au niveau international pour le bien commun de tous.
Reportage d’Annicette Ngakosso