Annicette Ngakosso reporter et bénéficiaire
« On veut voir ces femmes formées aujourd’hui aller travailler sur des grands sujets comme les questions d’eau, d’électricité, d’environnement, de transport de violence en milieu juvénile et autres, pour amener les décideurs à prendre les bonnes décisions qui peuvent impacter la vie dans la société. Il faut sortir des reportages constructifs », a instruit l’organisateur et formateur principal Arsène Sévérin Ngouela, qui attend de ces bénéficiaires des reportages traitants des sujets pertinents pour le développement du pays.
Parmi ces femmes, figurent Annicette Ngakosso, rédactrice du site web La Brève Online, Vitia Koutia, journaliste à La Congolaise 242 et Nadège Makoubama de l’Agence congolaise de l’information (Aci). En effet, cette formation soutenue financièrement par l’ambassade des Etats-Unis au Congo est une initiative de l’Ong Journalisme et éthique Congo (Jec).
Ainsi, 11 journalistes, ont été sélectionnées parmi plusieurs candidatures reçues. Cela afin de suivre une formation de trois jours en septembre dernier.
Au cours de la rencontre, le conseiller aux affaires publiques à l’ambassade des Usa, Éric Elliott affirme que cette formation a marqué le début d’un partenariat avec ces femmes.
« Notre but c’est d’accompagner ces femmes parce qu’elles amènent la perspective professionnelle en tant que journaliste, que nous apprécions et important pour le pays. Ce n’est pas la fin, c’est un début », a-t-il fait savoir avec un léger sourire aux lèvres.
Aussi, il a encouragé ces femmes à s’armer de courage, de fermeté et d’acharnement pour mener à bien leur mission d’informer la société.
Ces heureuses récipiendaires quant à elles, n’ont pas manqué d’exprimer leur gratitude à l’égard des organisateurs avant de partager leur détermination.
«Malgré certaines réalités auxquelles nous sommes exposées, nous, nous rendons compte que nous pouvons mieux faire que les hommes, parce que nous recevons des mêmes formations», a reconnu la bénéficiaire Kostelie Aboyo, attachée de presse au laboratoire de santé publique.
Comme perspective pour les années à venir, les choses s’annoncent sous de meilleurs auspices parce que ces femmes doivent impacter.
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Crédit images : La Congolaise 242
