Fixée pour ce mercredi 1er octobre, la rentrée scolaire 2025-2026 a effectivement débuté sur l’ensemble du territoire national.
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Cependant, une psychose règne dans plusieurs écoles de la ville, selon le constat de notre Rédaction sur le terrain.
« Je suis venue accompagnée de ma grande sœur pour commencer les cours. Je faisais mon petit commerce et cela m’a permis d’acheter mes fournitures scolaires », a dit Tania Mboualé, élève en classe de première.
Junior Sandza a commencé avec les anciens uniformes en attendant de pouvoir acheter de nouveaux. « J’invite mes amis qui sont encore à la maison à venir, car l’école a vraiment commencé aujourd’hui », a-t-il confié, élève au collège de l’Eglise évangélique du Congo.
Les ministres de l’enseignement technique et général, Ghislain Thierry Maguessa-Ebomé et Jean Luc Mouthou ont effectué une descente au lycée 1er mai dans l’arrondissement 2 Bacongo pour constater cette reprise des cours.
La rentrée s’est révélée très timide, avec peu d’élèves présents dans plusieurs établissements, alors que les enseignants sont prêts à dispenser les cours.
« Pendant que nous inaugurons cette organisation conjointe de la rentrée scolaire, nous rappelons aux élèves et à l’ensemble de la communauté éducative que cette organisation conjointe est la conséquence des mesures prises l’année dernière qui consacrera cette année l’organisation unique des baccalauréats de l’enseignement technique et général », a dit le ministre de l’enseignement technique et professionnel.
Il a poursuivi, qu’ils ont bien voulu commencer ensemble pour bien terminer ensemble dans neuf (9) mois.
S’adressant à la communauté éducative et aux personnels enseignants, il a les exhortés de veiller à l’application des instructions qui leurs sont données pour mieux réussir cette année, en se mettant ensemble au travail, afin que les apprenants suivent leur rythme.
Pour sa part, le ministre en charge de l’enseignement général a souligné que ce 1er octobre est un jour qui marque un nouveau départ pour la formation, l’éducation, l’encadrement et la définition de nouvelles perspectives pour l’avenir de la jeunesse, qui est chère au président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso.
« Nous saisissons toutes ces chances et de toutes ces opportunités pour permettre à notre jeunesse de se construire et de contribuer aussi au développement de notre pays. Ce jour marque ainsi la rentrée des classes. Pendant neuf mois, nous serons tous sollicités », a-t-il martelé, avant d’exhorter tous les acteurs impliqués dans le domaine de prendre conscience que les enfants sont les leaders de demain.
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Rédigé par Kesnov Medurin Ngouolali
