Les acteurs opérant de façon artisanale dans le secteur minier sont en formation

Les acteurs opérant de façon artisanale dans le secteur minier sont en formation

Les connaissances théoriques et pratiques au cœur de la formation

Rédigé par Kesnov Medurin Ngouolali

L’atelier de la première session technique de renforcement de capacités et de partage d’expérience sur la formalisation, l’environnement, la santé et la sécurité dans le secteur des minéraux de développement en République du Congo s’est ouvert le 25 janvier à Brazzaville, en vue de renforcer les capacités des acteurs opérant dans le secteur artisanal des minéraux de développement et la transformation des latérites.

Durant sept jours les participants à cet atelier vont recevoir des connaissances théoriques et pratiques sur les techniques fondamentales et les notions liées aux minéraux de développement sur l’éco-construction à partir des ressources locales disponible.

En outre, ils vont aussi renforcer leurs capacités sur les notions des terres argileuses, sur la formalisation, l’environnement, la communauté, les questions de santé et de sécurité sur l’ensemble du cycle minier, carrier avec l’orientation technique ponctuée sur l’exploration, la transformation, la fermeture, la réhabilitation et déclassement sur les liens économiques en amont et en aval inclus.

Ouvrant les travaux de ce séminaire, le directeur de cabinet du ministre d’État, ministre des industries minières et de la géologie, Michel Kouka Mapengo a souligné que le secteur des minéraux de développement négligés a un lien plus étroit avec l’économie locale et en potentiel génère plus d’emplois locaux avec un impact énorme sur la réduction de la pauvreté.

Pour sa part, le représentant résident adjoint du Programme des Nations-Unies (Pnud), Henry René Diouf a déclaré que les minéraux du développement sont un levier crucial pour l’épanouissement économique du Congo, en vue de réaliser des Objectifs de développement durable(Odd).

En effet, conscient des défis auxquels ce secteur est confronté et des risques que l’exploitation de ces minéraux portent sur l’environnement, la santé et la sécurité, il est judicieux, a-t-il dit, d’apporter un appui, afin de contribuer aux renforcement des capacités des acteurs et institutions du secteur à travers la diffusion des meilleures pratiques, respectueuses de l’environnement, l’amélioration des conditions de travail garantissant la santé et la sécurité des exploitants.

Ainsi, que faciliter leur accès aux technologies adéquates aux finances pour booster le développement de ce secteur.

Cet atelier est le fruit du Programme du Groupe des États d’Afrique des Caraïbes et du pacifique ( Groupe Acp) financé à hauteur de 13, 1 millions d’euros par la Commission de l’union européenne et mis en œuvre par le Pnud Congo, qui se tient du 25 janvier prendra fin le 1er février prochain.

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