L’engagement de la société civile pour une société juste

L’engagement de la société civile pour une société juste

Chaque 10 décembre, est célébré la journée internationale des droits de l’homme.

Ndlr : D’une manière générale, promouvoir un droit consiste non seulement à mettre en avant son existence en tant que tel, mais implique aussi et surtout une réflexion sur les moyens les plus pertinents pour le mettre en œuvre de manière efficace. Il s’agit alors de faciliter au maximum, d’une part, la compréhension de ce qu’implique la consécration de ce droit, mais aussi les comportements et les pratiques qui permettent, dans chaque domaine de ne pas lui porter atteinte.

A cette occasion, le secrétaire général à la justice, Aristide Mathieu Clotaire Okoko, a procédé au lancement de la campagne d’intériorisation de la déclaration universelle des droits de l’homme, en présence des acteurs de la société civile et du système des Nations-Unies.

De la droite à gauche, Chris Mburu, Céphas Ewangui et Clotaire Okoko représentant le ministre

Une campagne initiée par le conseil consultatif de la société civile, et des organisations non gouvernementales (Ong), elle a permis aux congolais non seulement de connaître mais aussi de s’approprier de ces droits afin de mieux se défendre.

Le secrétaire permanent du conseil consultatif de la société civile et des Ong, Céphas Germain Ewangui a exhorté l’Etat à plus d’efforts dans la protection, la promotion et l’application effective de ces droits en République du Congo.

En avant, la secrétaire permanente consultative de la femme et les Nations-Unies

La société civile a affirmé la ferme volonté du gouvernement de combattre les différentes formes de tortures pour l’épanouissement de la population.

Protéger des êtres humains de toutes sortes de tortures fait partie de leurs droits

 « En défendant les droits humains, nous prévenons les violations avant qu’elles ne soient commises et ouvrons la voie à ce que les droits humains nous unissent en faveur de la paix et de stabilité (…) ils protègent et garantissent à chaque personne, où qu’elle se trouve, de vivre dans la dignité et le respect », a déclaré Chris Mburu, coordonnateur résident du système des Nations-Unies.

Les représentants des peuples autochtones

Lançant cette campagne au nom du garde des sceaux, ministre de la justice, des droits humains et de la promotion des peuples autochtones, Aristide Okoko, souligne que ce 76e anniversaire est aussi un moment de prise de conscience collective des erreurs passées.

« Le département ministériel en charge des droits humains, compte bien sur votre activisme, votre dévouement, votre engagement pour qu’ensemble, nous continuons à conjuguer nos efforts dans la vulgarisation des principes contenus dans la déclaration universelle des droits de l’homme », a-t-il encouragé la société civile, qui souvent d’après lui se place en première ligne pour la promotion et la protection des dits droits.

Les cadres du ministère de la justice et la société civile

Cette édition a été placée sous le signe :  »Nos droits, notre avenir, dès maintenant ».

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Par Gigie PAMBOU

Crédit photos : La Brève

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