La 12e édition du Fespam est lancée au son du tam-tam

La 12e édition du Fespam est lancée au son du tam-tam

Au Palais des congrès, l’ouverture de la 12e édition du Festival panafricain de musique (Fespam), a connu un vrai succès, avec une salle comble pour suivre les chorégraphes et écouter le début de la musique congolaise à travers le tam-tam.

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Il a été officiellement lancé en format abrégé le 19 juillet, par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, en présence des professionnels culturels, promettant une semaine riche en activités artistique et en échanges.

La ministre en charge de l’industrie culturel, Lydie Pongault, le commissaire général du Fespam, Hugues Gervais Ondaye et le maire de la ville, Dieudonné Bantsimba ont prononcé des discours, soulignant l’importance de cet événement pour la promotion de la diversité culturelle et le développement touristique de l’Afrique en général et du Congo en particulier.

Le président de la République et les artistes congolais

Le Fespam a pour objectif de promouvoir et de célébrer la richesse musicale de l’Afrique et de sa diaspora. Il vise aussi à renforcer l’unité et la solidarité entre les Etats africains, à défendre leur souveraineté et à favoriser la coopération pour le développement de l’industrie musicale africaine, en offrant une plateforme d’échanges et de réflexion sur les enjeux économiques et numériques de ce secteur.

Pour la représentante de l’Unesco au Congo, Fatoumata Barry Marega, maintenir l’organisation de cet événement dans un contexte économique et financier si difficile, relève d’un leadership éclairé qui n’est reconnu qu’aux grands esprits.

Les artistes à l’esplanade du Palais des congrès

Le festival qui se déroule du 19 au 26 juillet, proposera une variété d’activités, dont des danses, d’exposition d’art, des ateliers et des conférences. Des artistes locaux et internationaux auront l’occasion de se produire sur scène, offrant un mélange de talents qui témoigne de la richesse de la culture africaine.

En ce premier jour, il était difficile de résister sans sourire devant les chorégraphes qui parlaient de la nature via le tam-tam, a dit Jasmin Kiassakoula, assistant chorégraphe du Fespam.

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Par Diane M’PAMBOU

Crédit photos : La Brève

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