Le président du Comité d’organisation du 1er Congrès international d’épidémiologie et de santé publique de Brazzaville (Ciespb), le professeur Gilbert Ndziessi, a animé une conférence de presse le 26 février, au cours de laquelle, il a annoncé qu’il y aura des nouvelles données statistiques en épidémiologie.
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Ce premier Congrès se tiendra du 27 février au 1er mars 2025 au centre international de conférence de Kintelé, avec la participation de quatre cent acteurs du domaine, notamment les chercheurs, décideurs politiques et professionnels de santé publique venus du continent et du monde.
La première édition est en effet placée sous le thème : ‘‘Des évidences scientifiques à une meilleure prise de décision’’. Au cours des travaux, les participants auront droit à plusieurs symposiums, aux panels de discussion, ateliers spécialisés, des sessions de communication scientifiques et à 22 sous thématiques à savoir : « Comorbidité diabète et tuberculose en République démocratique du Congo : prévalence, corrélation et implications programmatiques » ; « Contrôle glycémique dans le diabète de type 2 en Afrique subsaharienne de 2012 à 2022 : une revue systématique », la liste n’est pas exhaustive.

La tenue de ce congrès, « reflète notre volonté d’ancrer les politiques de santé publique dans les données scientifiques rigoureuses. Aujourd’hui plus que jamais, face aux défis sanitaires globaux, qu’ils s’agissent de pandémies, des maladies émergente, du changement climatique ou encore des inégalités en matière de soins, il est crucial d’adopter des stratégies fondées sur des preuves scientifiques solides », a déclaré Ndziessi.
Signifiant ainsi, que le but de 1er congrès d’épidémiologie, c’est d’échanger sur les nouvelles données de recherches scientifiques. Il se veut donc un espace de réflexion où les avancées les plus récentes en épidémiologie et en santé publique seront présentées, discutées et confrontées aux réalités du terrain ».

Il ne s’agira pas seulement, selon le professeur d’analyser les meilleures pratiques existantes, mais aussi d’identifier des solutions concrètes et adaptées aux contextes nationaux et régionaux.
Il a conclu en saluant l’apport des organisations internationales et partenaires qui ont contribué pour la tenue de cette activité pour la bonne santé des populations.
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Brègie PAMBOU
Crédit photos : La Brève Online
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