Deux corps de la famille Matété exhumés à Dolisie

Deux corps de la famille Matété exhumés à Dolisie

L’honorable Matété et la famille ont récemment exhumé à Dolisie dans le département du Niari, les corps de leurs deux frères Aloïse et Clément Matété, décédés et enterrés au nord du pays depuis 1985.

« A l’heure de la mort, il nous reste il nous reste des milliers de souvenirs de toi pour alimenter nos jours de vie jusqu’au jour de notre mort. La vie ne dure qu’instant et l’amour pour les défunts est éternels, nous ne t’oublierons jamais ».

La mort est inévitable puisqu’il faut mourir un jour. Dans cette optique noëlle affirmait brillamment en ces termes : « On ne possède bien que ce qu’on peut attendre, je suis mortel puisque je dois mourir.

Ta mort en ce moment devient une possession ce que l’on possède. En revanche toutes les formules de condoléances, les peines partagées, le deuil qui commence inscrivent à jamais des pensées pour toi en nos cœurs pour que notre souvenir de toi ne meurt jamais. Adieu Aloïse Matete et Clément Matete, reposez en paix, nous vous aimons à jamais. Voici quelques mots de l’oraison funèbre de la famille Matété à l’occasion de l’exhumation des corps à Dolisie dans le département du Niari.

Désormais, leurs restes mortelles peuvent se reposer en paix auprès de ceux de leurs ancêtres dans le cimetière familial de Moulenda à Kimongo. Matété Aloïse est né vers 1927 au village Pangui, district de Kimongo dans le département du Niari en République du Congo, fils de Mounoi Alexandre et de Pembe Dénise. Il intègre très tôt le monde productif dans la société Barologie, spécialisée dans l’exploitation du bois.

Engagé et persévérant dans le travail, il parviendra plus tard à créer sa propre société jusqu’à son dernier jour sur terre, le 4 mars 1986; jour où il a rendu l’âme à Brazzaville à ‘hôpital général deux semaines après son évacuation sanitaire.

Ensuite, son fils Matété Clément né le 12 août 1964 à Dolisie. Celui-ci fut un brillant élève qui a vu la mort arrêtée sa vie et son parcours scolaire au niveau secondaire deuxième degré, le 6 février 1985 à Dolisie à la suite d’une erreur médicale.


En effet, cet événement à été marqué par une messe de requiem, recueillement et dépôt des gerbes de fleurs, un discours de circonstance par la représentante de ses descendants et de l’oraison funèbre, lu par le Vénérable Julien Matété Mounoi. Plusieurs autorités administratives et des représentants de la force de l’ordre et bien d’autres de ce département ont pris part à cette commémoration.

Le vénérable Julien Ignace Matété Mounoi dans son oraison funèbre a déclaré, qu’à leur de la mort il nous reste des milliers de souvenirs de toi pour alimenter nos jours de vie jusqu’au jour de notre mort.

« La vie ne dure qu’un instant et l’amour pour les défunts est éternels, nous ne t’oublierons jamais. La mort est inévitable jusqu’il faut mourir un jour. Dans cette optique Noëlle affirmait brillamment en ces termes « On ne possède bien que ce qu’on peut attendre, je suis mortel puisque je dois mourir », a-t-il poursuivi.
 » Ta mort en ce moment devient une possession, ce que l’on possède. En revanche toutes les formules de condoléances, les peines partagées, le deuil qui commence inscrivant à jamais des pensées pour toi en nos cœurs pour que notre souvenir de toi ne meure jamais », a-t-il conclu.

Crédit photo ( Nimi Kadios)

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